Dans l’univers complexe des produits d’épargne et d’investissement, l’assurance-vie se distingue en 2024 comme une solution de choix pour ceux qui cherchent à sécuriser leur avenir financier tout en bénéficiant d’une fiscalité avantageuse. Que vous soyez un épargnant novice ou aguerri, comprendre le fonctionnement de l’assurance-vie est essentiel pour tirer pleinement parti de ses avantages. Ce guide vise à démystifier les mécanismes de l’assurance-vie, en explorant ses principes de base, ses options d’investissement, et les stratégies pour optimiser votre contrat. Suivez-nous pour une immersion complète dans le monde de l’assurance-vie, un pilier de l’épargne en France.
Définition de l’assurance-vie
L’assurance-vie est avant tout un contrat financier polyvalent destiné à l’épargne et à la prévoyance. En tant que souscripteur, vous avez la possibilité d’y allouer des versements, qu’ils soient réguliers ou ponctuels, afin de constituer progressivement un capital. Cette épargne peut ensuite être orientée vers divers supports d’investissement, choisis en fonction de vos objectifs, de votre appétence au risque et de la durée prévue de votre placement.
En dépit de son appellation, l’assurance-vie se distingue nettement de l’assurance décès. Si l’assurance décès est, comme son nom l’indique, strictement liée au dénouement du contrat suite au décès du souscripteur, avec une indemnisation destinée aux bénéficiaires désignés, l’assurance-vie, quant à elle, possède une double vocation. Elle est non seulement un outil d’épargne, mais aussi un moyen de transmission de patrimoine.
Il est crucial de comprendre cette différence :
- l’assurance décès est un produit purement assurantiel, déclenché par un risque prévu, à savoir le décès.
- L’assurance-vie, malgré son intitulé, est en réalité un produit financier d’investissement, offrant des opportunités de rendement et des avantages fiscaux, utilisable tant du vivant du souscripteur qu’après son décès pour transmettre des fonds à des bénéficiaires.
Pourquoi choisir l’assurance-vie comme placement financier?
Bénéfices fiscaux attrayants 🌟
L’une des principales raisons de souscrire à une assurance-vie réside dans ses avantages fiscaux. Avec l’assurance-vie, tant que vous conservez vos fonds sans les retirer, vous échappez à toute imposition.
De surcroît, après une détention de 8 ans, la fiscalité liée aux retraits s’avère particulièrement favorable, augmentant ainsi votre potentiel de rendement et sécurisant votre stratégie financière à long terme.
Transmission de patrimoine facilitée 💸
Au-delà de son aspect épargne, l’assurance-vie est un outil précieux pour transmettre votre patrimoine. Elle propose des abattements spécifiques qui permettent de réduire significativement les droits de succession.
Grâce à cette caractéristique, vos héritiers peuvent jouir d’une meilleure protection financière lors de la transmission de vos biens.
Diversification optimale de l’épargne 📈
L’assurance-vie vous offre une plateforme idéale pour diversifier vos investissements selon vos aspirations et projets financiers.
Votre capital, une fois investi, fructifie annuellement grâce aux intérêts et peut potentiellement générer des plus-values, tout dépendant des supports d’investissement que vous sélectionnez.
Notons que l’assurance-vie met à disposition une vaste gamme de supports pour répondre à tous les profils d’investisseurs.
🏦 Accès constant à votre capital
Contrairement à d’autres instruments d’épargne, l’assurance-vie garantit un accès constant à vos fonds.
Ce contrat flexible vous permet d’épargner à votre rythme, que ce soit par des versements réguliers ou ponctuels, tout en conservant la liberté de retirer vos fonds en cas de besoin.
📊 Complément parfait aux autres placements
L’assurance-vie ne comporte pas de plafond d’investissement, ce qui vous donne l’opportunité de maximiser votre épargne et d’accroître votre potentiel de croissance financière, faisant d’elle un complément idéal à vos autres placements financiers.
Lire aussi : Quelle est la meilleure assurance-vie ?
Quels sont les différents types de contrats d’assurance-vie en 2024?
Les contrats mono-supports 🛡
Un contrat mono-support est un contrat d’assurance-vie dans lequel l’épargne du souscripteur est investie exclusivement dans un seul support d’investissement, généralement le fonds en euros. Cela signifie que l’intégralité du capital versé par le souscripteur est placée dans le fonds en euros, qui est un support à capital garanti.
Les contrats multi-supports ⚔
Les contrats multi-supports combinent les caractéristiques des contrats en euros et des contrats en unités de compte. Ils offrent une partie sécurisée (le support en euros) et une partie variable (les supports en unités de compte).
Sur le court et le moyen terme, votre portefeuille ne doit pas comporter un trop grand nombre d’actions. Si vous ouvrez un contrat d’assurance-vie pour votre enfant, il est donc pertinent de privilégier les unités de compte.
Cela vous permet de diversifier votre investissement et de profiter à la fois de la sécurité des contrats en euros et du potentiel de rendement plus élevé des contrats d’assurance-vie en unités de compte.
Chez Nalo nous répartissons votre investissement entre les deux types de supports selon vos objectifs d’épargne. Le but étant de concevoir un portefeuille équilibré, en cohérence avec votre situation patrimoniale, matrimoniale et la nature de votre projet d’investissement qui sera sécurisé au fil du temps.
Profitez d’une assurance-vie sur-mesure pour faire fructifier votre épargne
Je découvre l’assurance-vie NaloLa fiscalité de l’assurance-vie
La fiscalité d’un contrat d’assurance-vie est particulièrement avantageuse : les revenus générés au sein du contrat (plus-values, intérêts…) ne sont imposés que lors d’un retrait. Le taux d’imposition se veut en outre attractif.
Attention : le régime fiscal diffère quelque peu s’agissant des assurances-vie souscrites par des non-résidents.
Fiscalité pendant la durée du contrat
Durant la phase d’épargne d’un contrat d’assurance-vie, une caractéristique fiscale favorable entre en jeu : l’ensemble des revenus générés à l’intérieur du contrat, qu’il s’agisse d’intérêts ou de plus-values, est totalement exonéré d’impôt sur le revenu. Cela signifie que l’argent investi dans le contrat continue de fructifier sans subir la moindre ponction fiscale.
Cette imposition n’intervient qu’en cas de retraits effectués sur votre contrat d’assurance-vie, ou à la survenue de votre décès. En effet, à ces occasions précises, les gains générés par votre contrat sont susceptibles d’être imposés. Toutefois, en l’absence de tels événements générateurs d’imposition, vous n’avez pas à vous soucier d’un quelconque paiement d’impôt.
Cependant, il faut tenir compte des prélèvements sociaux sur les intérêts générés par le fonds en euros. Ces derniers sont dus chaque année, au moment où ils sont inscrits en compte. Ils sont “indolores” en apparence car prélevés directement à la source par l’assureur : vous n’avez rien à déclarer.
En revanche, il est important de les prendre en considération lors de l’évaluation de la rentabilité de votre contrat d’assurance-vie.
Fiscalité de l’assurance-vie en cas de retrait
En cas de rachat de votre contrat d’assurance-vie, seul le montant correspondant aux intérêts accumulés pendant la durée du contrat est soumis à imposition. Le capital initial que vous avez investi, lui, reste exempt de tout impôt.
Le régime fiscal appliqué à ces intérêts dépend de l’ancienneté du contrat. Il est important de noter que la flat tax, ou Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU), s’applique pour les versements réalisés après le 27 septembre 2017 :
- Si le contrat a moins de 8 ans : les versements sont soumis, sauf option contraire de votre part, au PFU à un taux global de 30%. Cela représente une imposition de 12,8% sur le revenu généré, et de 17,2% de prélèvements sociaux.
- Pour les contrats ayant plus de 8 ans : les gains bénéficient d’un abattement annuel : 4 600 € pour une personne seule, 9 200 € pour un couple marié ou pacsé. Par la suite, les versements inférieurs à 150 000 € sont imposés à un taux de 7,5% (plus 17,2% de prélèvements sociaux). Si vos versements dépassent 150 000 €, le PFU au taux de 30% s’applique.
| Durée du contrat | Montant des versements | Imposition sur les gains | Prélèvements sociaux |
|---|---|---|---|
| Moins de 8 ans | Soumis au PFU à 30% | 12,8% sur le revenu généré | 17,2% |
| Plus de 8 ans | Abattement annuel de 4 600 € pour une personne seule, 9 200 € pour un couple marié ou pacsé | Versements inférieurs à 150 000 € : 7,5% | 17,2% |
| Plus de 8 ans | – | Versements supérieurs à 150 000 € : PFU à 30% | 17,2% |
Cette fiscalité avantageuse encourage donc à conserver son contrat d’assurance-vie sur le long terme pour optimiser l’accumulation des gains, et à planifier soigneusement ses rachats pour tirer le meilleur parti des abattements et des taux réduits d’imposition.
Fiscalité de l’assurance-vie en cas de décès
Lors du décès du souscripteur d’une assurance-vie, le contrat est clôturé, et les capitaux sont transmis aux bénéficiaires désignés, suivant une fiscalité liée à la date des versements. Le souscripteur choisit librement ses bénéficiaires, qu’il précise dans la clause bénéficiaire.
Il est essentiel d’y définir clairement les bénéficiaires et d’envisager divers scénarios comme le prédécès ou la renonciation. Une clause démembrée peut scinder l’usufruit des capitaux entre différents bénéficiaires.
Sans clause, le capital s’intègre à la succession et se divise entre les héritiers. Toutefois, les intérêts du contrat demeurent non-imposables, marquant une différence favorable par rapport à l’assurance-vie avant 70 ans
La fiscalité des versements sur assurance-vie avant 70 ans
La transmission du capital au bénéficiaire désigné est soumise à un régime fiscal binaire. En effet, le droit ne traite pas de la même façon les versements effectués avant les 70 ans du souscripteur et ceux effectués après cet âge.
Les versements intervenus avant 70 ans n’entrent pas dans la succession. Aucun droit de succession n’est donc à régler. Les sommes sont cependant imposées sur la base d’un taux d’imposition spécifique.
Après avoir fait l’objet d’un abattement de 152 500 € par bénéficiaire, les versements sur assurance-vie avant 70 ans sont soumis à deux taux d’imposition différents :Un taux de 20 %, applicable sur la fraction des versements inférieure à 700 000 € après abattement de 152 500 €. Un taux de 31,25%, applicable sur la fraction supérieure à 700 000 € après abattement.
La fiscalité des versements sur assurance-vie après 70 ans
Les versements intervenus après les 70 ans du souscripteur sont quant à eux soumis aux droits de succession. Les primes bénéficient cependant d’un abattement de 30 500 €.
L’abattement est global, quel que soit le nombre de contrats et de bénéficiaires de ce ou ces contrats. Il est réparti entre tous les bénéficiaires. Il se cumule avec les abattements du droit commun des successions, tels que l’abattement de 100 000 € offert à chaque enfant.
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Période de versement |
Abattements et taxation applicables |
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Versement avant le 70ème anniversaire du souscripteur |
Chaque bénéficiaire bénéficie d’un abattement individuel de 152 500 €. Pour les sommes au-delà de cet abattement, une taxation de 20% est appliquée jusqu’à 700 000 €. Au-delà de 852 500 €, la taxe passe à 31,25%. |
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Versement après le 70ème anniversaire du souscripteur |
Un abattement global de 30 500 € est appliqué, indépendamment du nombre de bénéficiaires. Les sommes versées qui excèdent cet abattement entrent dans la composition de l’actif successoral. Les gains en intérêts accumulés restent exemptés de droits. |
Les différents acteurs d’un contrat d’assurance-vie
Le souscripteur : c’est la personne qui souscrit le contrat, qui effectue les versements et qui choisit les bénéficiaires en cas de décès.
L’assureur : c’est la compagnie d’assurance qui propose le contrat. Elle s’engage à verser un capital ou une rente à l’assuré ou aux bénéficiaires en contrepartie des primes versées par le souscripteur.
Le gestionnaire : dans certains cas, la gestion des fonds du contrat d’assurance-vie peut être confiée à un tiers, autre que l’assureur lui-même (société de gestion, courtier …). C’est elle qui va investir les primes versées par le souscripteur dans différents supports (actions, obligations, immobilier…) selon les orientations définies dans le contrat.
Le bénéficiaire : c’est la personne que le souscripteur a désignée pour recevoir le capital ou la rente en cas de décès de l’assuré. Le souscripteur peut modifier le bénéficiaire à tout moment, sauf s’il a été désigné de manière irrévocable.
Comment investir dans l’assurance-vie ?
La procédure de souscription à une assurance-vie
L’ouverture d’une assurance-vie nécessite d’être bien réfléchie en amont. De très nombreux contrats d’assurance-vie existent. Certains s’avèrent bien plus avantageux que d’autres.
Pour souscrire un contrat d’assurance-vie, il est possible de s’adresser à plusieurs types d’acteurs :
- une société d’assurance,
- un courtier indépendant,
- une banque,
- un conseiller en investissements financiers.
Il est aussi possible et même recommandé de souscrire un contrat d’assurance-vie en ligne, les frais étant souvent plus faibles.
Comment bien choisir son assurance-vie ?
De nombreux acteurs proposent aujourd’hui des contrats d’assurance-vie. Mais toutes les offres ne se valent pas ! Prenez le temps de bien choisir votre gestionnaire. Il doit avoir une bonne réputation et faire preuve d’une transparence totale concernant les frais prélevés. Les litiges sur l’assurance-vie peuvent rapidement survenir.
Examinez également le choix des supports d’investissement.
Parfois, celui-ci s’avérera limité. C’est en particulier le cas au sein des réseaux bancaires qui ne proposent souvent que des fonds « maison », commercialisés par la banque elle-même.
Cette dernière peut alors se rémunérer sur les supports d’investissement, ce qui crée inévitablement une situation de conflit d’intérêt : les fonds proposés sont les plus rémunérateurs pour la banque… Mais pas nécessairement pour le client.
Pour vous aider dans votre choix, n’hésitez pas à utiliser un comparateur de placements, qui répertorie et compare les caractéristiques des contrats d’assurance-vie.
Étudier les performances des contrats
Les supports d’investissement choisis déterminent directement la performance du contrat d’assurance-vie. Plus l’investissement contient des actions, plus les rendements potentiels peuvent être importants. À l’inverse, un investissement totalement sécurisé apporte un faible rendement, généralement sous le niveau de l’inflation.
Pour cette raison, la comparaison des performances des contrats peut s’avérer délicate. Il faut étudier la performance des contrats en fonction de la proportion en actions qu’ils présentent.
Pour une comparaison objective et efficace, il faut aussi s’assurer que les performances affichées soient bien nettes de frais de gestion.
En réalisant une simulation sur Nalo, vous pouvez obtenir les performances passées du portefeuille d’investissement qui vous est recommandé, ainsi qu’une illustration des scénarios possibles à l’avenir.
Sans oublier toutefois que les performances passées ne peuvent en aucun cas indiquer les performances futures, notamment en ce qui concerne les unités de compte qui sont soumises aux fluctuations des marchés.
A lire aussi : les inconvénients de l’assurance-vie
Gestion et optimisation de votre assurance-vie
Dans la gestion et l’optimisation de votre assurance-vie, plusieurs choix et considérations importantes s’offrent à vous.
Choisir un type de gestion
Les contrats d’assurance-vie peuvent être gérés de deux manières différentes :
- La gestion pilotée : vous donnez mandat à un conseiller ou à une société de gestion pour opérer lui-même les arbitrages en fonction de vos objectifs.
- La gestion libre : vous décidez de la répartition de votre portefeuille de manière autonome, en sélectionnant des supports d’investissement.
La plupart des épargnants choisissent une gestion pilotée plus simple. Elle ne demande pas une analyse fine des différents supports d’investissement, qui peut s’avérer chronophage et complexe pour les non-initiés.
A lire aussi : déblocage d’une assurance-vie : comment procéder ?
Quels sont les principaux frais d’un contrat d’assurance-vie ?
Les frais associés aux contrats d’assurance-vie peuvent varier considérablement d’un contrat à l’autre. Comparer ces frais peut s’avérer compliqué, car ils se décomposent en plusieurs catégories et la transparence de leurs détails peut parfois manquer.
Les contrats d’assurance-vie englobent plusieurs types de frais :
- Frais d’entrée : ils sont prélevés au moment de la souscription
- Frais de versement : ils sont prélevés à chaque versement, ponctuel ou récurrent
- Frais d’arbitrage : ils s’appliquent lorsque la répartition au sein du portefeuille change.
- Frais de gestion : ils sont proportionnels au montant de votre contrat et sont prélevés chaque année. ils sont plus élevés dans le cas d’une gestion pilotée.
- Frais des supports d’investissement : ils dépendent des supports choisis, car ces frais sont prélevés par les sociétés de gestion qui proposent les supports. Il s’agit souvent des frais les plus conséquents. Opter pour les ETF peut permettre de diminuer ces coûts !
Fort heureusement, tous les contrats d’assurance-vie ne prélèvent pas tous ces types de frais ! Il existe des contrats avec des frais relativement bas. Les assurances-vie en ligne notamment, ne comportent en général ni frais d’entrée, ni frais d’arbitrage.
Comment procéder au rachat d’une assurance-vie ?
Le rachat de l’épargne constituée dans un contrat d’assurance-vie peut se faire de deux manières : le rachat partiel et le rachat total.
Rachat partiel de l’assurance-vie 🔄
Lorsque vous optez pour un rachat partiel, vous choisissez de prélever une fraction de votre épargne, tout en conservant le reste investi pour continuer à bénéficier de ses rendements. Pour cela :
- Soumettez une demande détaillée à votre compagnie d’assurance indiquant le montant souhaité.
- Sachez que si votre contrat a moins de 8 ans, ce retrait pourrait entraîner des implications fiscales.
- La plupart des plateformes numériques modernes comme Nalo, assurent une transaction rapide, créditant le montant demandé sur votre compte bancaire en quelques jours seulement.
Point-clé: Même après le rachat, le solde restant de votre capital demeure investi et continue de produire des rendements.
Rachat total de l’assurance-vie 💼
Un rachat total signifie que vous retirez la totalité du capital accumulé dans votre assurance-vie. Cette option est souvent privilégiée lors :
- D’un besoin financier urgent.
- De la réalisation d’un projet majeur, comme un achat immobilier.
En suivant cette démarche :
- Adressez une requête de rachat total à votre assureur.
- Une fois approuvé, vous recevrez l’intégralité de vos économies et le contrat d’assurance-vie sera officiellement résilié.
Attention : Tout comme pour le rachat partiel, retirer votre épargne avant le huitième anniversaire du contrat peut entraîner des frais fiscaux. Il est donc impératif de s’informer et idéalement de consulter un expert financier pour évaluer l’impact d’un tel choix.
Choisir le bon contrat d’assurance-vie avec Nalo 💡
Avec Nalo, investissez dans une assurance-vie en gestion pilotée, taillée sur mesure pour vos besoins. Pas de profils de risque prédéfinis ici; nous adaptons votre portefeuille à vos objectifs patrimoniaux. Vous avez la flexibilité de personnaliser vos investissements ou d’opter pour une approche écoresponsable.
Notre technologie multi-projet unique vous permet de segmenter votre épargne pour différents objectifs, chacun avec une stratégie d’investissement dédiée, le tout sous un seul contrat d’assurance-vie.
Nos portefeuilles, axés sur la performance, se composent principalement d’ETF et si nécessaire, de fonds en euros. Nous exploitons des techniques de gestion quantitative pour booster vos rendements.
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Voici les quatre critères principaux pour choisir votre assurance-vie :
Sur ces 4 points Nalo se différencie des autres acteurs de la manière suivante :
La plupart des acteurs vous attribuent un numéro sur une échelle de risque générique (e.g. de 1 à 10), vos investissements sont donc gérés à l’identique des autres clients ayant le même niveau de risque.
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