Assurance-vie : le guide complet
Experts de la finance, de l’investissement et de la gestion de patrimoine.
L’essentiel :
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- L’assurance-vie est un produit d’épargne souple. Elle est adaptée à la majorité des projets d’investissement financier.
- Avec l’assurance-vie, votre capital fructifie et n’est pas bloqué : vous pouvez récupérer votre épargne quand vous le souhaitez, sans frais.
- L’assurance-vie permet de profiter d’avantages fiscaux sur les gains réalisés et lors de la succession.
- En 2019, l’assurance-vie Nalo Patrimoine a affiché une performance comprise entre 5,46 % et 31,87 %. Je souhaite faire une simulation d’assurance-vie.
Depuis plusieurs dizaines d’années, l’assurance-vie demeure le produit d’épargne préféré des français. Près de 1 700 milliards d’euros sont aujourd’hui placés sur des assurances-vie.
Ce succès s’explique aisément. : l’assurance-vie est un produit d’épargne peu contraignant, performant et fiscalement attractif.
Qu’est-ce qu’une assurance-vie ?
L’assurance-vie est un produit d’épargne vous permettant de réaliser une variété d’investissements afin de faire fructifier votre capital. Sa popularité est expliquée par ses avantages multiples.
Les avantages de l’assurance-vie
L’assurance-vie vous permet d’épargner sans contrainte, puisque le capital n’y est pas bloqué. Il est possible de réaliser des versements ou des retraits à tout moment..
Le capital ainsi constitué produit chaque année des intérêts et génère des plus-values, en fonction du rendement des différents supports d’investissement que vous aurez choisis. L’assurance-vie offre à ce titre une très large gamme de supports.
La fiscalité attachée à l’assurance-vie est particulièrement avantageuse, surtout pour les sommes conservées plus de huit ans. Le régime de l’assurance-vie au décès se montre également attractif. Tout cela en fait un excellent outil de transmission de votre patrimoine.
À l’inverse de certains produits d’épargne, il est possible de souscrire plusieurs assurances-vie. Il n’y a en outre pas de plafond fixé par la loi (contrairement au PEA), ni de durée de vie prédéfinie pour le contrat d’assurance-vie. La plupart des contrats sont conclus à durée déterminée avec tacite reconduction.
Il est en outre possible de transférer une assurance-vie en changeant de contrat. Il y a des avantages à clôturer son assurance-vie pour en ouvrir une nouvelle.
L’assurance-vie peut également être nantie. Le nantissement d’assurance-vie permet dans ce cas de garantir le remboursement d’un crédit qui vous est accordé. Il permettra à l’établissement bancaire de recouvrer rapidement sa créance en cas de défaut de paiement de votre part.
À l’inverse, il n’est pas possible de donner votre assurance-vie de votre vivant.
Assurance-vie, assurance décès et assurance prévoyance : quelle(s) différence(s) ?
Il ne faut pas confondre assurance-vie et assurance décès, cette dernière étant un produit d’assurance au sens propre du terme. Elle ne fonctionne que si le risque se réalise, c’est-à-dire votre décès. Une compensation est alors versée aux bénéficiaires préalablement identifiés dans le contrat.
Les assurances prévoyance sont aussi des contrats d’assurance au sens propre : ils sont conçus pour couvrir, par exemple, le risque d’invalidité ou de dépendance de l’assuré.
L’assurance-vie porte donc mal son nom : ce n’est en aucun cas un produit d’assurance. L’assurance-vie est un produit d’investissement.
Ouvrir une assurance-vie
L’ouverture d’une assurance-vie nécessite d’être bien réfléchie en amont. De très nombreux contrats d’assurance-vie coexistent. Certains s’avèrent bien plus avantageux que d’autres.
Comment souscrire un contrat d’assurance-vie ?
Pour souscrire un contrat d’assurance-vie, il est possible de s’adresser à plusieurs types d’acteurs :
- une société d’assurance,
- un courtier indépendant,
- une banque,
- un conseiller en investissements financiers.
Il est aussi possible – et même recommandé – de souscrire un contrat d’assurance-vie en ligne, les frais étant souvent plus faibles.
Comment bien choisir son assurance-vie ?
Bien choisir son gestionnaire
De nombreux acteurs proposent aujourd’hui des contrats d’assurance-vie. Mais toutes les offres ne se valent pas ! Prenez le temps de bien choisir votre gestionnaire. Il doit avoir une bonne réputation. Les litiges sur assurance-vie peuvent rapidement survenir.
Examinez également le choix des supports d’investissement. Parfois, celui-ci s’avèrera limité.
C’est en particulier le cas des réseaux bancaires qui ne proposent que des fonds « maison », commercialisés par la banque elle-même. Cette dernière peut alors se rémunérer sur les supports d’investissement, ce qui crée inévitablement une situation de conflit d’intérêt : les fonds proposés sont les très rémunérateurs pour la banque… mais pas nécessairement pour le client.
Pour vous aider dans votre choix, n’hésitez pas à utiliser un comparateur de placements, qui répertorie et compare les caractéristiques des contrats d’assurance-vie.
Étudier les performances des contrats
Les supports d’investissement choisis déterminent directement la performance du contrat d’assurance-vie. Plus l’investissement contient des actions, plus les rendements potentiels peuvent être importants. À l’inverse, un investissement totalement sécurisé apporte un faible rendement, généralement sous le niveau de l’inflation..
Pour cette raison, la comparaison des performances des contrats peut s’avérer délicate. Il faut étudier la performance des contrats en fonction de la proportion en actions qu’ils présentent.
Pour une comparaison objective et efficace, il faut aussi s’assurer que les performances affichées soient bien nettes de frais de gestion.
En réalisant une simulation sur nalo.fr, vous pouvez obtenir les performances passées du portefeuille d’investissement qui vous est recommandé, ainsi qu’une illustration des scénarios possibles à l’avenir.
Vous souhaitez investir ?
Choisir un type de gestion
Les contrats d’assurance-vie peuvent être gérés de deux manières différentes :
- La gestion pilotée : vous donnez mandat à un conseiller ou à une société de gestion pour opérer lui-même les arbitrages en fonction de vos objectifs.
- La gestion libre : vous décidez de la répartition de votre portefeuille de manière autonome, en sélectionnant des supports d’investissement.
La plupart des épargnants choisissent une gestion pilotée, plus simple. Elle ne demande pas une analyse fine des différents supports d’investissement, qui peut s’avérer chronophage et complexe pour les non-initiés.
Gare aux frais !
D’un contrat d’assurance-vie à l’autre, les frais peuvent être multipliés. Il est cependant difficile de les comparer, car il existe plusieurs couches de frais… et les acteurs ne jouent pas tout le temps la transparence sur ce qu’ils facturent.
Les contrats d’assurance-vie sont soumis à différents types de frais :
- Les frais d’entrée, prélevés sur chaque versement.
- Les frais d’arbitrage, liés à un changement de répartition au sein du portefeuille.
- Les frais de gestion du contrat, proportionnels au montant de votre contrat. Ils sont prélevés annuellement.
- Les frais des supports d’investissement. Tout dépend ici des supports choisis, car ces frais sont prélevés par les sociétés de gestion qui commercialisent les supports. Ce sont généralement les frais les plus importants. Opter pour les ETF permet de réduire l’addition !
- Le cas échéant, les frais de la gestion pilotée.
Il est possible de trouver des contrats aux frais peu élevés. Certains même ne présentent ni droits d’entrée, ni frais d’arbitrage. C’est le cas des assurances-vie en ligne.
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Investir avec l’assurance-vie
L’assurance-vie n’est pas un placement, mais une enveloppe fiscale qui permet de faire des placements variés, à choisir parmi toute une gamme de supports d’investissement.
On distingue généralement deux types de supports d’investissement : le fonds en euros, et les unités de compte. Entre ces deux supports, le niveau de risque et le rendement varient fortement.
Le fonds en euros
Le fonds en euros de l’assurance-vie permet de ne prendre aucun risque : votre capital est garanti. Vous percevez en outre des intérêts annuels sur les sommes placées. C’est ce qu’on appelle l’effet « cliquet » : chaque année, les intérêts perçus s’ajoutent au capital garanti.
Le fonds en euros n’a pas grand-chose à voir avec la devise du même nom. Son appellation vient du fait que le montant placé dans un fonds en euros n’est pas converti en parts ou en unités (comme pour les unités de compte), mais simplement inscrit en euros dans votre contrat.
L’absence de risque comporte bien entendu une contrepartie : le fonds en euros, principalement composé d’actifs obligataires et de bons du Trésor, affiche un rendement peu intéressant. Celui-ci n’est généralement pas supérieur à 2 %. La performance des fonds en euros est d’ailleurs en baisse constante d’année en année.
Le fonds en euros reste intéressant pour la garantie qu’il offre sur le capital. Il peut être combiné avec des actifs plus risqués mais plus performants. Évitez d’investir à 100 % sur un fonds en euros sur le long terme : cela reviendrait à se priver de rendements très attractifs.
Les unités de compte
On définit les unités de compte de manière résiduelle : ce sont tous les supports d’investissement qui ne sont pas des fonds en euros.
Au contraire du fonds en euros, les unités de compte présentent un risque de perte en capital mais permettent des gains potentiels importants. On trouve parmi les unités de comptes des fonds d’investissement classiques (contenant notamment des actions), des ETF, des fonds immobiliers, ou encore des produits structurés.
Le risque associé aux unités de compte existe, mais il est à relativiser. Tout va dépendre de la composition du portefeuille d’investissement. Il existe des unités de compte faiblement risquées (comme les obligations) et d’autres plus risquées (comme les fonds d’investissement investis 100% en actions). Un bon conseiller financier vous aidera à concevoir un portefeuille équilibré, en cohérence avec votre situation patrimoniale, matrimoniale et la nature de votre projet d’investissement. Sur le court et le moyen terme, votre portefeuille ne doit pas comporter un trop grand nombre d’actions. Sur le long terme (supérieur à 15 ans) et pour un portefeuille diversifié, le risque de perte avec du 100% actions est quasiment nul.
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La fiscalité de l’assurance-vie : versements et sortie
La fiscalité d’un contrat d’assurance-vie est particulièrement avantageuse : les revenus générés au sein du contrat (plus-values, intérêts…) ne sont imposés que lors d’un retrait. Le taux d’imposition se veut en outre attractif.
Attention : le régime fiscal diffère quelque peu s’agissant des assurances-vie souscrites par des non-résidents.
Fiscalité de l’assurance-vie pendant la phase d’épargne
Pendant la phase d’épargne, les revenus générés au sein du contrat sont entièrement exonérés d’impôt sur le revenu.
L’imposition ne survient que lors des retraits ou rachats effectués sur votre contrat d’assurance-vie, ou à la date de votre décès. En dehors de ces faits générateurs d’imposition, aucun impôt n’est à payer.
Les prélèvements sociaux sur les intérêts du fonds en euros restent quant à eux dus annuellement, lors de leur inscription en compte.
Fiscalité de l’assurance-vie en cas de retrait
En cas de rachat, seule la fraction du retrait correspondant aux intérêts est imposée.
Le régime fiscal applicable diffère selon l’ancienneté du contrat. La flat tax (ou PFU) s’applique pour les versements effectués après le 27 septembre 2017 :
- Pour les contrats de moins de 8 ans, les versements sont soumis, sauf option contraire, au PFU (Prélèvement Forfaitaire Unique) au taux global de 30 %. Cela correspond à 12,8 % seulement d’impôt sur le revenu, et 17,2 % de prélèvements sociaux.
- Pour les contrats de plus de 8 ans, les gains font l’objet d’un abattement annuel : 4 600 € pour une personne seule, 9 200 € pour un couple marié ou pacsé. Ensuite, les versements de moins de 150 000 € sont imposés à 7,5 % (+ 17,2 % de prélèvement sociaux). Au-delà de 150 000 €, le PFU au taux de 30 % s’applique.
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Il est possible de renoncer au PFU, au profit de l’application du barème progressif de l’impôt sur le revenu.
Fiscalité applicable en cas de sortie en rente viagère
Il est possible d’opter pour une sortie en rente viagère. Dans ce cas, vous recevrez un montant fixe chaque mois jusqu’à votre décès.
La rente viagère est en partie imposable au barème progressif de l’impôt sur le revenu. La fraction imposable dépend de votre âge lors du premier versement de la rente :
- 30% si vous avez plus de 69 ans,
- 40% si vous avez entre 60 et 69 ans,
- 50% si vous avez entre 50 et 59 ans,
- 70% si vous avez moins de 50 ans.
Par exemple, si vous décidez de transformer votre contrat d’assurance-vie en rente à l’âge de 52 ans, seul 50 % du montant de votre rente sera chaque année intégré à vos revenus.
L’assurance-vie au décès : quelle fiscalité ?
Le décès du titulaire d’une assurance-vie entraîne la transmission du capital aux personnes mentionnées sur la clause bénéficiaire. La fiscalité diffère selon l’âge du défunt lors des versements.
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L’intérêt de la clause bénéficiaire
Au décès du souscripteur, le contrat d’assurance-vie est automatiquement dénoué et les capitaux sont versés aux bénéficiaires. Cette transmission est soumise à un double régime fiscal, en fonction de la date des versements.
Les bénéficiaires d’un contrat d’assurance-vie sont les personnes désignées par le souscripteur pour recevoir les fonds à son décès. Le souscripteur est libre de désigner les personnes de son choix, même s’il ne peut pas déshériter ses enfants. Cela peut être des parents, des amis, son conjoint, une association caritative… Des règles particulières s’appliquent lorsque le bénéficiaire décède avant l’assuré.
Les bénéficiaires du contrat d’assurance-vie sont nommés dans la clause bénéficiaire. Ils restent libres de renoncer au bénéfice du contrat.
La rédaction de la clause bénéficiaire doit être particulièrement soignée, puisqu’elle détermine la manière dont le capital sera attribué au décès. Les bénéficiaires doivent ainsi être déterminés ou déterminables avec précision, et toutes les hypothèses (prédécès, renonciation…) doivent être envisagées.
Il est possible de rédiger une clause bénéficiaire démembrée. Celui-ci permet de transmettre l’usufruit des capitaux décès à un bénéficiaire, et la nue-propriété à un ou plusieurs autres bénéficiaires.
En l’absence de clause bénéficiaire dans le contrat d’assurance-vie, le capital entre dans la succession du défunt. Le régime favorable de l’assurance-vie avant 70 ans n’est pas applicable. Les fonds sont répartis entre tous les héritiers.
La fiscalité des versements sur assurance-vie avant 70 ans
La fiscalité de l’assurance-vie au décès est particulière.
La transmission du capital au bénéficiaire désigné est soumise à un régime fiscal binaire. En effet, le droit ne traite pas de la même façon les versements effectués avant les 70 ans du souscripteur et ceux effectués après cet âge.
Les versements intervenus avant 70 ans n’entrent pas dans la succession. Aucun droit de succession n’est donc à régler. Les sommes sont cependant imposées sur la base d’un taux d’imposition spécifique.
Après avoir fait l’objet d’un abattement de 152 500 € par bénéficiaire, les versements sur assurance-vie avant 70 ans sont soumis à deux taux d’imposition différents :
- Un taux de 20 %, applicable sur la fraction des versements inférieure à 700 000 € après abattement de 152 500 €.
- Un taux de 31,25%, applicable sur la fraction supérieure à 700 000 € après abattement.
La fiscalité des versements sur assurance-vie après 70 ans
Les versements intervenus après les 70 ans du souscripteur sont quant à eux soumis aux droits de succession. Les primes bénéficient cependant d’un abattement de 30 500 €.
L’abattement est global, quel que soit le nombre de contrats et de bénéficiaires de ce ou ces contrats. Il est réparti entre tous les bénéficiaires. Il se cumule avec les abattements du droit commun des successions, tels que l’abattement de 100 000 € offert à chaque enfant.
Le régime de l’assurance-vie après 70 ans est posé par l’article 757 B du CGI.
Les produits financiers du contrat – tels que les intérêts – ne sont pas imposables, et ce même s’ils se rattachent à des primes versées après 70 ans. C’est une différence notable – et avantageuse – avec le régime de l’assurance-vie avant 70 ans.
L’assurance-vie avec Nalo
Lorsque vous investissez avec Nalo, votre épargne est placée dans une assurance-vie gérée sous mandat. Nous vous conseillons un portefeuille d’investissement sur mesure, et nous nous chargeons de le faire fructifier pour vous. Contrairement aux gestions pilotées traditionnelles, chez Nalo il n’existe pas de profils type. Notre gestion est adaptée à votre situation patrimoniale et vos objectifs. Vous pouvez personnaliser vos portefeuilles ou encore opter pour un portefeuille éco-responsable.
Pour vous aider à organiser et répartir efficacement votre épargne entre vos divers projets et besoins, Nalo a inventé le multi-projet. Vous pouvez ainsi, au sein du même contrat d’assurance-vie, définir autant de projets que vous le souhaitez, chacun présentant son propre horizon d’investissement.
Les portefeuilles de Nalo sont en outre conçus pour la performance. Ils sont ainsi exclusivement composés d’ETF et, lorsque c’est nécessaire, de fonds en euros. Leur performance est maximisée grâce à des techniques d’optimisation issues de la finance quantitative.
Nalo vous offre également la possibilité de sécuriser de manière automatique et progressive vos projets financiers, à mesure qu’ils arrivent à échéance.
Enfin, avec Nalo, vous bénéficiez de frais réduits. Aucun droit d’entrée, frais d’arbitrage ou frais de dossier n’est à prévoir. Les frais prélevés par Nalo sont transparents et peu élevés. L’utilisation d’ETF à frais réduits et l’automatisation des tâches à faible valeur ajoutée nous permet aujourd’hui de proposer un service de meilleure qualité, près de deux fois moins cher que les offres du marché.
N’hésitez pas à faire une simulation d’assurance-vie, elle est gratuite et sans engagement.
Voici les quatre critères principaux pour choisir votre assurance-vie :
Sur ces 4 points Nalo se différencie des autres acteurs de la manière suivante :
La plupart des acteurs vous attribuent un numéro sur une échelle de risque générique (e.g. de 1 à 10), vos investissements sont donc gérés à l’identique des autres clients ayant le même niveau de risque.
Avec Nalo, chaque client à un suivi personnalisé. Vous pouvez définir autant de profils que souhaités au sein du même contrat d’assurance-vie. Par exemple, vous pouvez avoir un profil dédié à la préparation de votre retraite, un pour épargner à court terme, et d’autres pour les études de vos enfants…etc. Chacun de vos objectifs d’investissement sont gérés indépendamment avec un niveau de risque différent. Nous assurons leur évolution dans le temps, en fonction de la conjoncture économique et nous sécurisons progressivement vos investissements en fonction de vos horizons de placement. Pour en savoir plus sur l’investissement par objectifs, lisez cet article de blog et la description de notre service.
Notez enfin que Nalo est un Conseiller en Investissement Financier indépendant, là où beaucoup sont filiales de groupes bancaires. Nous sélectionnons les investissements de nos clients sans conflit d’intérêts.
N’hésitez pas à faire une simulation ici ou à prendre contact avec un de nos conseillers.
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