Les principaux placements financiers en 2025

Publié le 07/01/2025

9 min

Conseillers Nalo

Experts de la finance, de l’investissement et de la gestion de patrimoine.

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À propos de Nalo

Nalo offre une solution d'épargne unique pour gérer votre avenir financier, alignant votre argent avec vos projets via une plateforme d'investissement entièrement numérique et un accompagnement personnalisé de conseillers.

Dans un monde économique en perpétuelle évolution, l’art de placer son argent ne se résume pas simplement à déposer son capital et attendre. Il s’agit d’une quête incessante pour trouver le juste équilibre entre risque et rendement, pour faire fructifier votre épargne tout en préservant le capital investi. Les stratégies de placements financiers sont au cœur de cette démarche, permettant aux investisseurs de naviguer habilement à travers les eaux parfois tumultueuses des marchés financiers.

Qu’est-ce qu’un placement financier ?

Placement financier définition

L’art du placement financier repose sur la stratégie d’investir votre épargne sur une période déterminée dans le but de générer des bénéfices grâce à des opérations financières bien orchestrées.

En des termes plus simples, un placement financier consiste à investir des capitaux dans le but de soutenir diverses initiatives économiques, qu’il s’agisse de soutenir des entreprises, des individus ou des politiques publiques (comme le financement de logements sociaux par le biais du livret A, par exemple).

La création de richesse qui en découle est ensuite partiellement redistribuée aux investisseurs, sous forme d’intérêts ou de dividendes, en échange du risque assumé et de la mise en suspens éventuelle des fonds engagés pour la durée du placement.

De nos jours, les placements financiers jouent un rôle crucial dans l’économie, offrant aux investisseurs la possibilité de faire fructifier leur argent tout en contribuant au développement économique.

Ces mécanismes proposés par les institutions financières continuent d’évoluer pour répondre aux besoins changeants de la société, tout en offrant des opportunités potentielles aux épargnants.

L'exemple de Nalo

Les données sont fournies à titre purement illustratif et informatif. Elles ne constituent en aucun cas une offre, un conseil en investissement, ni une recommandation personnalisée. Tout investissement comporte un risque de perte en capital.

La distinction entre placement financier et solutions de placement

Il convient de distinguer le placement financier d’une solution de placement. Si une solution de placement implique un placement financier, la réciproque n’est pas toujours vraie.  

Un épargnant particulier n’a pas un accès direct aux marchés boursiers, il est obligé de passer par un investisseur institutionnel (un courtier, une banque, une assurance…) qui va lui proposer des solutions de placement.

Ce dernier va lui proposer un éventail d’enveloppes fiscales réglementées (assurance-vie, PEA…) ou des livrets bancaires (eux aussi prévus par la loi) comme véhicule pour investir dans des actifs financiers.

Ainsi, lorsque l’on parle dassurance-vie ou de PEA, il ne s’agit pas véritablement d’un placement financier, mais du moyen par lequel on effectue des placements financiers.

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Enfin, certains placements financiers et investissements peuvent être faits sans solutions de placement ou enveloppes fiscales.

Par exemple, lorsque vous achetez des actions (ou parts sociales) d’une entreprise de gré à gré (en dehors d’un marché boursier réglementé), vous devenez actionnaire et n’êtes pas obligé de les placer dans un compte-titres ou un PEA.

Il en va de même lorsque vous investissez dans l’immobilier ou achetez des parts de SCPI (société civile de placement immobilier).

Vous avez donc effectué un placement financier sans souscrire une solution de placement. Par contre, vous auriez pu souscrire une assurance-vie pour y loger vos parts de SCPI.

Ceci étant dit, il est possible de diviser les solutions de placement en plusieurs grandes catégories selon la nature des actifs sous-jacents et les objectifs d’épargne :

Il convient désormais de se pencher sur l’ensemble de ces placements financiers en analysant leurs fonctionnements, leurs spécificités et la fiscalité applicable. 

Placements bancaires : livrets et comptes à terme

En tant qu’intermédiaire financier de premier ordre, les banques proposent un certain nombre de placements financiers (réglementés ou non) à capital garanti. En contrepartie des sommes placées, les épargnants perçoivent des intérêts sans assumer une quelconque prise de risques.

Il est possible de classer ces solutions d’épargnes en deux grandes catégories :

  • l’épargne à vue où les sommes placées peuvent être retirées à tout moment ;
  • l’épargne à terme où l’épargne est bloquée pendant une durée déterminée. 

L’épargne à vue : avantage à la disponibilité

Au-delà de l’absence de risque, l’épargne à vue se caractérise par sa liquidité, c’est-à-dire la possibilité pour l’épargnant de retirer son épargne à tout moment sans payer les moindres frais.

En matière d’épargne bancaire à vue, il est possible de citer :

Le Livret A

Au sein de l’univers de l’épargne à vue, le livret A se maintient en tant que placement bancaire phare.

Rendant ses gains totalement défiscalisés, ce livret offre des intérêts cumulés par quinzaine, c’est-à-dire tous les 15 jours, avec un taux annuel de 2,4% en février 2025.

Les versements atteignent leur plafond à 22 950 euros pour les particuliers, et ce, sans les exigences spécifiques associées au livret jeune ou au LEP (livret d’épargne populaire). Pour les associations, le plafond est plus élevé, fixé à 76 500 euros.

Dans un panorama financier en perpétuelle évolution, ces caractéristiques du livret A suscitent toujours un intérêt marqué parmi les épargnants en quête de solutions sûres et rentables.

Le LDDS : Livret de développement durable et solidaire

  • Taux d’intérêt : 3% jusqu’au 31 janvier 2025, puis 2,4% à partir du 1er février 2025
  • Plafond de dépôt : 12 000 euros (hors intérêts capitalisés)
  • Fiscalité : Exonération d’impôt sur le revenu et de prélèvements sociaux
  • Nombre de LDDS par personne : un seul
  • Montant minimal pour l’ouverture : 15 euros (dans la plupart des banques)

Le LDDS est détenu par environ 24,8 millions de Français, dont 4,6 millions ont atteint le plafond. 

En alignant la rentabilité et la simplicité, le LDDS se maintient comme un instrument d’épargne fiable, tandis que les épargnants continuent à rechercher des solutions financières solides et responsables.

De plus, le LDDS contribue au financement de la transition énergétique et de l’économie sociale et solidaire, offrant aux épargnants la possibilité de faire des dons aux acteurs de l’ESS à partir des sommes figurant sur leur livret

Le LEP : Livret d’épargne Solidaire

Le LEP est réservé aux résidents fiscaux français dont le revenu fiscal de référence ne dépasse pas 22 823 € pour une personne seule (1 part) en 2025, ce plafond augmentant avec le quotient familial (ex. : 35 013 € pour 2 parts, 47 203 € pour 3 parts).

Plafond de dépôt : 10 000 € (hors intérêts capitalisés), revalorisé en octobre 2023. Les intérêts, calculés deux fois par mois (1er et 16), s’ajoutent au capital le 31 décembre sans être soumis à l’impôt sur le revenu ni aux prélèvements sociaux.

Taux actuel : 3,5 % depuis le 1ᵉʳ février 2025, contre 1 % en 2020. Ce taux est révisé deux fois par an (février/août) en fonction de l’inflation.

Conditions clés :

  • Versement initial minimal : 30 €, avec retraits sans frais à tout moment.
  • Revenus vérifiés annuellement via l’avis d’imposition (N-1 ou N-2).
  • Clôture automatique si le plafond est dépassé deux années consécutives.

Le Livret Jeune

Public : Résidents fiscaux français âgés de 12 à 25 ans.
Plafond : 1 600 € (hors intérêts capitalisés).
Taux : Librement fixé par les banques, avec un minimum légal de 0,75 %.

Conditions :

  • Retraits libres à tout moment, sans frais ni incidence fiscale (intérêts exonérés d’IR et de prélèvements sociaux).
  • Ouverture possible dès 12 ans (avec accord parental si mineur).
  • Clôture automatique au 25ᵉ anniversaire (les fonds restent disponibles jusqu’à retrait).

L’épargne à terme : PEL et Comptes à terme

Sans pour autant atteindre des rendements stratosphériques, l’épargne bancaire à terme propose des taux d’intérêt supérieurs à l’épargne à vue.

Parmi les solutions d’épargne à terme les plus connues, il est possible de citer : 

Le PEL

Le PEL reste un produit réglementé destiné à financer un projet immobilier, mais son attractivité dépend désormais de votre stratégie d’épargne et de votre fiscalité.

Fonctionnement et caractéristiques
  • Plafond : 61 200 € (hors intérêts capitalisés) pour les versements cumulés.
  • Durée minimale : 4 ans pour bénéficier du prêt épargne logement (jusqu’à 92 000 € à taux préférentiel).
  • Taux 2025 : 1,75 % brut pour les PEL ouverts après le 1ᵉʳ janvier 2025, contre 2,25 % pour ceux de 2024.
Rentabilité nette et fiscalité

Imposition : PFU à 30 % (12,8 % d’IR + 17,2 % de prélèvements sociaux) pour les PEL ouverts après 2018, ramenant le taux net à ~1,23 % (ex. : 1,75 % brut → 1,23 % net).

Le compte à terme (CAT)

Le compte à terme est un placement sécurisé où l’épargne est bloquée pendant une durée déterminée (1 mois à 5 ans), en échange d’un taux d’intérêt fixé à l’avance.

Types de CAT et rendements
  • Taux fixe : Rendement constant (ex. : 2,5 % sur 12 mois).
  • Taux progressif : Augmentation du taux avec la durée (ex. : +0,3 % par an).
  • Taux variable : Indexé sur un indice de marché (Euribor, etc.).
  • Renouvelable : Reconduction automatique au taux en vigueur.
Fiscalité

Les intérêts sont soumis au prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 30 % (12,8 % d’IR + 17,2 % de prélèvements sociaux) ou à l’impôt sur le revenu (taux marginal). Aucun avantage fiscal spécifique n’est associé au CAT, contrairement au Livret A ou au LEP.

Dans quoi investir ? Comparatif des solutions d’épargne bancaire

L’assurance-vie, un placement flexible et rentable

Très prisée parmi les épargnants les plus avertis, l’assurance-vie peut s’analyser à la fois comme une solution de placement à moyen long-terme, mais aussi comme un outil d’optimisation de sa succession.

Sur ce point, l’assurance-vie est une enveloppe fiscale qui permet à l’épargnant de se constituer un portefeuille d’actifs financiers. Selon sa composition, il est possible de distinguer deux grandes catégories de supports au sein de l’assurance-vie : 

  • Le fonds euro ;
  • Les unités de compte ;

Le fonds en euro : rendements faibles sans prise de risque

Le fonds en euros a pour particularité la garantie totale du capital placé. L’épargnant n’est pas exposé aux fluctuations des marchés financiers de sorte qu’il n’est pas soumis à des pertes éventuelles.

Aujourd’hui, le rendement moyen des fonds en euros se situe aux alentours de 2,5% pour l’année 2024 (annoncé début 2025). Ce taux est légèrement supérieur à l’inflation, qui est estimée à 2,2% pour 2025, offrant ainsi un rendement réel positif, bien que faible.

Les experts anticipent une performance moyenne autour de 2,50% pour les fonds euros traditionnels en 2025, avec une possible baisse due à plusieurs facteurs :

  1. La baisse attendue du taux du Livret A en février 2025.
  2. La difficulté pour les assureurs de puiser dans leurs réserves pour maintenir des taux compétitifs.
  3. Les performances variables des actifs composant les fonds (obligations, actions, immobilier).

Il est donc important pour les épargnants de comparer attentivement les différentes offres et de considérer une diversification de leur portefeuille, en combinant potentiellement fonds euros classiques, nouvelle génération, et unités de compte pour optimiser le couple rendement-risque.

Au demeurant, l’assurance-vie fonds euro reste un placement financier qui présente un rendement relativement élevé au regard de l’absence totale de risque pour l’épargnant.

Le fonds euro peut donc constituer une alternative au livret A (ou autres livrets bancaires à vue) pour constituer une épargne à court terme.

Les unités de compte : rendements proportionnels à la prise de risque

Concernant les unités de compte, le fonctionnement est le même, mais les actifs sous-jacents sont différents. Dans l’assurance-vie en unités de compte, il est possible de loger un certain nombre d’actifs financiers (selon ce que vous propose l’assureur) à savoir notamment :

  • des OPCVM (SICAV et FCP) couramment appelé fonds de gestion ;
  • des ETF (ou trackers) ;
  • des parts de SCPI, SIIC, OPCI ;

L’ensemble de ces placements financiers ne sont pas garantis. Cependant, en bon gestionnaire, il est possible de moduler l’exposition au risque en fonction de la proportion d’actifs risqués présents dans le portefeuille.

De même, plus votre horizon d’investissement est long, plus vous diminuez le risque de perte en capital, en limitant votre exposition à la volatilité des marchés.

Quelle fiscalité pour les placements financiers de l’assurance-vie ?

La fiscalité de l’assurance-vie a beaucoup évolué au cours des trois dernières décennies.

Aujourd’hui, l’assurance-vie offre des avantages fiscaux sur les intérêts perçus lors de vos rachats à partir de la 8ème année :

  • vous bénéficiez d’un abattement de 4 600 euros (9 200 euros pour un couple marié ou pacsé) par an sur la part des intérêts perçus lors du rachat ;
  • vous bénéficiez d’un taux d’imposition réduit de 7,5% dans la limite de  150 000 euros de versements
L'exemple de Nalo

A lire aussi

Retrouvez le détail de la fiscalité de l’assurance-vie

Placement financier : l’épargne boursière

L’assurance-vie est l’une des enveloppes fiscales proposant la plus grande diversité de supports d’investissement tout en proposant des avantages fiscaux. Elle est souvent comparée avec le PEA et le compte titres qui sont d’autres solutions d’épargne boursière.

A la différence de l’assurance-vie, le PEA et le compte titres permettent d’investir dans des actions individuelles. On parle de titres vifs.  

Le PEA (Plan épargne action) : moins fiscalisé

Le PEA est une enveloppe fiscale permettant d’investir en actions européennes avec un plafond de versement de 150 000 € (hors plus-values).

Fonctionnement et contraintes

  • Durée recommandée : 5 ans minimum pour l’exonération d’impôt sur le revenu (plus-values et dividendes).
    • Avant 5 ans : Retraits entraînant la fermeture du plan (sauf exceptions : licenciement, invalidité, création d’entreprise).
    • Après 5 ans : Retraits partiels autorisés sans clôture (mais nouveaux versements impossibles sur les sommes retirées).
  • Actifs éligibles :
    • Actions européennes (siège social dans l’UE/EEE).
    • OPCVM (fonds à 75 % minimum d’actions européennes).

Fiscalité avantageuse

  • Après 5 ans :
    • Exonération d’IR sur les plus-values et dividendes.
    • Prélèvements sociaux de 17,2 % dus.
  • Avant 5 ans :
    • Flat tax à 30 % (12,8 % IR + 17,2 % PS) ou taux marginal d’imposition.

Risques et diversification

Rendement variable : Dépend des performances des entreprises et des marchés.

Volatilité : Le PEA est exposé aux fluctuations boursières, nécessitant un horizon long (>10 ans) pour lisser les risques.

Limites géographiques : Concentration européenne (ex. : France 40 %, Allemagne 20 %), exigeant une complémentarité avec d’autres enveloppes (assurance-vie, CTO par exemple).

Le compte-titres : l’avantage de la diversité

Le compte-titres ordinaire (CTO) est l’enveloppe fiscale standard pour investir dans une très large gamme d’instruments financiers : OPCVM, ETF, obligations, actions, produits dérivés … En principe, vous pouvez vous constituer un portefeuille très diversifié et définir la stratégie d’investissement qui vous convient. 

Toutefois, le compte-titres ne propose aucun avantage fiscal. Les rendements nets de vos placements financiers s’en trouvent donc drastiquement impactés avec l’application de la flat tax à 30% sur l’ensemble des produits et plus-values réalisées.

De plus, le compte-titres, contrairement au PEA ou à l’assurance-vie, n’est pas une enveloppe de capitalisation. Si vous réalisez une opération d’achat/vente au sein de votre CTO, alors vous devrez payer des impôts sur la plus value réalisée, même si vous ne faites pas de retrait.

Les placements financiers immobiliers

Il est possible d’investir dans l’immobilier sans pour autant acheter un bien immobilier en pleine propriété. En effet, de nombreuses structures de placements immobiliers se sont développées à savoir :

  • les SCPI ;
  • les SIIC ;
  • les OPCI. 

L’ensemble de ces placements immobiliers ont pour valeur sous-jacente des biens immobiliers détenus par les sociétés d’investissement en question. Le but pour les épargnants est de bénéficier notamment des rendements locatifs et de la hausse des prix de l’immobilier. 

De plus, elles permettent d’améliorer la diversification des portefeuilles des épargnants en intégrant des actifs immobiliers. 

Chacun de ces supports d’investissement répond à des caractéristiques spécifiques impactant la liquidité, le risque et la rentabilité du placement financier. 

Les SCPI

Les SCPI sont des sociétés civiles détenant des actifs immobiliers. Il est possible de les classer en 3 catégories selon la prépondérance de leur revenu et avantage : 

  • les SCPI de rendements où l’essentiel des quotes-parts distribuées est issu de revenus fonciers ;
  • les SCPI de plus-values où la principale source de rendement est issue de l’achat/vente de biens immobiliers ;
  • les SCPI fiscales dont une des propositions de valeur est de faire bénéficier d’avantages fiscaux aux associés.

Échangée au gré à gré, les parts de SCPI échappent à la cotation boursière et les cessions de parts s’assimilent à des cessions immobilières avec les conséquences fiscales en découlant (les frais de transactions sont donc élevés pour le cessionnaire).

Ce type de cession impacte drastiquement la liquidité des parts de SCPI notamment en cas de crise immobilière.

Toutefois, les parts SCPI (si elles sont détenues en dehors d’une enveloppe fiscale) bénéficient du régime de la transparence fiscale : les bénéfices générés par la société sont directement imposés entre les mains des associés permettant donc d’imputer d’éventuels déficits fonciers, moins-values immobilières ou de bénéficier de niches fiscales (loi Pinel, Malraux…).

Les SIIC : l’immobilier coté

Les sociétés d’investissements immobiliers collectifs appelées aussi foncières sont des sociétés cotées spécialisées dans l’acquisition et la valorisation d’actifs immobiliers. Bien qu’ identiques aux SCPI dans leur objet, elles se distinguent sur plusieurs points :

  • les actions de SIIC sont échangeables sur un marché réglementé, la liquidité des actions de foncières est donc nettement supérieure aux parts de SCPI ;
  • la SIIC est au régime de l’impôt sur les sociétés de sorte qu’il n’y a pas de transparence fiscale. Il est donc impossible de bénéficier de niche fiscale immobilière en achetant des actions de foncière ;
  • la volatilité des actions de foncières est supérieure aux parts de SCPI (les SIIC présentent donc plus de risques à court terme) ;
  • les rendements des SIIC (6% brut environ) sont supérieurs aux SCPI, avec des frais moindres.

Si vous souhaitez en apprendre davantage, vous pouvez consulter cet article sur la différence entre les SCPI et SIIC

Conclusion

En matière de stratégies de placements financiers, la clé réside dans un équilibre judicieux entre diversification, adéquation au profil de risque et respect de l’horizon temporel.

  • Que votre objectif soit de sécuriser un capital à court terme ou de maximiser des rendements sur le long terme, privilégiez une allocation multi-actifs.
  • N’oubliez pas qu’un portefeuille bien structuré doit évoluer avec vos projets de vie : réévaluez régulièrement vos choix pour aligner risque, rendement et temporalité.
  • La réussite d’un investissement ne dépend pas seulement des performances des marchés, mais aussi de votre capacité à garder le cap tout en restant flexible face aux cycles économiques.

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2 Commentaires

  1. Bonjour,
    Je suis un de vos confrères CGPI installé sur Montpellier qui travaille plus particulièrement avec des expatriés anglophones ayant moi-même vécu plusieurs années dans les pays anglo-saxons.
    J’ai découvert récemment par un hasard qui n’en est pas vraiment un, excellent référencement oblige, votre plateforme.
    J’ai navigué avec beaucoup de curiosité sur votre site, riche, pédagogique, concret, transparent, je dirais presque généreux.
    Votre approche, frappée au coin d’un bon sens qui en serait presque contre-intuitif pour les français, nous est encore tellement étrangère alors qu’elle coule de source dans les pays anglo-saxons.
    Je la partage et la pratique de façon « artisanale » mais avec la même authenticité.
    Elle recèle une formidable valeur ajoutée encore d’a »Vanguard » pour tous les investisseurs tout en privilégiant le monde de nos enfants.
    Je souhaite une belle réussite à toute l’équipe de NALO, très sincèrement. Elle le mérite.
    Bon vent à vous,
    Alexis de Saint-Pal.

    Réponse
    • Bonjour Monsieur,

      Votre commentaire nous va droit au cœur ! Merci pour votre soutien et bonnes lectures.

      Réponse

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