Devenir rentier en 2025, mythe ou réalité ? Avec les bonnes stratégies d’investissement, il est possible de générer des revenus passifs et d’atteindre l’indépendance financière. Immobilier, marchés financiers, placements alternatifs… Chaque option a ses avantages et ses risques. Dans cet article, nous décryptons les meilleures approches pour bâtir un patrimoine durable et faire travailler votre argent pour vous.
Qu’est-ce qu’être rentier ?
Le dictionnaire Larousse définit le rentier comme « une personne qui reçoit des rentes » ou « personne qui vit sans travailler, de ses seuls revenus ». Autrement dit, un rentier est une personne qui perçoit des revenus passifs, c’est-à-dire sans fournir un travail.
Ce terme désigne souvent les personnes ayant des investissements immobiliers. Les loyers perçus constituent des rentes.
Mais il s’agit d’une vision réductrice du rentier. Le rentier est avant tout un investisseur. Il a effectué des placements lui permettant de générer suffisamment de revenus pour ne pas travailler.
Être rentier en 2025 : est-ce possible ?
Contexte économique et financier
Rentier en 2025 peut apparaître comme un oxymore. Quand on pense rentier, on visualise davantage un aristocrate du 19e siècle allant récupérer, chaque mois, les loyers de ces multiples appartements qu’un homme moderne réalisant des placements financiers depuis son smartphone.
Pourtant, aujourd’hui, plus que jamais, nous avons tous les atouts en main pour devenir rentier : l’accessibilité à l’information, les outils technologiques et le besoin de générer des revenus passifs dans un monde économique toujours plus incertain.
Depuis la crise du Covid-19, le monde moderne a pris un véritable tournant montrant que tout peut s’arrêter du jour au lendemain. La planification et l’anticipation sont donc devenues les préoccupations majeures de notre époque.
Le recul de l’âge de départ à la retraite en France n’a fait que souligner davantage cette nécessité. Nous voulons tous sécuriser notre avenir financier et le marché de l’emploi ne donne plus cette garantie.
Le développement de plateformes et interface de gestion à distance, la multiplication des types de placements financiers ouvrent de nouvelles possibilités à tous ceux qui souhaitent générer des revenus passifs.
Rentier en 2025 : les différents types
Devenir rentier en 2025 n’a plus rien à voir avec cette image d’aristocrate du 19e siècle. Suivant la stratégie adoptée et les types d’investissement réalisés, le profil de rentier varie.
Il existe donc, aujourd’hui, plusieurs profils de rentiers différents :
- le rentier en immobilier : probablement le plus ancien profil existant, il correspond au « descendant direct » du personnage du 19e siècle évoqué plus haut.
- le rentier boursier : averti et connaisseur du système financier, il mise uniquement sur l’investissement en bourse pour générer ses revenus passifs. Demandant peu de capital, cette méthode est un pari, car elles peuvent donner de très bons résultats très rapidement, mais les risques de perte sont réels.
- le rentier mixte : plus prudent, il mise sur une stratégie de long terme en diversifiant ses placements pour mieux répartir le risque. Il investit généralement plus de temps et d’argent pour mieux stabiliser ses revenus dans le temps.
Exemple : Lucie, 35 ans, a généré des revenus passifs grâce à l’assurance-vie et des SCPI. Elle a choisi des placements financiers moins risqués que les places boursières et moins gourmands en apport que l’immobilier.
Sa stratégie se déploie sur le long terme constitue une base solide pour générer, par la suite, des revenus passifs plus importants.
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Je découvre l’assurance-vie NaloQuel apport pour devenir rentier ?
D’aucuns diront que devenir rentier n’est possible que si nous disposons dès le départ d’une grosse somme d’argent. C’est en partie faux.
Disposer d’un héritage ou d’un apport personnel important vous permettra d’atteindre plus rapidement votre objectif. Vous pouvez investir rapidement, sans crédit, dans différents placements générant des revenus. Et, ainsi, devenir rentier en quelques mois ou années.
Mais partir de zéro ou seulement avec quelques centaines ou milliers d’euros est tout à fait possible. Car, bien gérée, la rente s’auto-alimente. Un apport personnel, même minime, vous permet d’investir dans un ou deux placements qui généreront des revenus.
Ces revenus pourront vous permettre d’investir dans un autre placement qui, à son tour, générera aussi des revenus. Et ainsi de suite jusqu’à avoir une somme confortable vous permettant de vivre sans travailler à terme.
Comment devenir rentier en 2025 : astuces et stratégies
Les piliers de l’indépendance financière
Atteindre l’indépendance financière requiert quelques bases. Pour devenir rentier, il faut établir une stratégie qui allie patience et détermination.
Quel que soit le montant de votre apport personnel et les investissements choisis, les revenus passifs ne tombent pas du jour au lendemain, plus particulièrement s’ils constituent votre seule ressource de revenus.
L’indépendance financière s’obtient à partir d’un patrimoine constitué. Il est donc indispensable de se donner un minimum de temps pour le construire.
Premier pas, définir vos objectifs pour devenir rentier en 2025. Vous ne savez pas par où commencer ? Voici quelques conseils et astuces des experts Nalo.
- Définir ses objectifs financiers en fixant le montant mensuel à atteindre pour couvrir vos besoins sans travailler et la date à partir de laquelle vous souhaitez être rentier.
- Calculer le capital nécessaire pour atteindre ce montant en appliquant la formule suivante : capital = besoins annuels x 25 pour une rentabilité de 4 %.
- Identifier les possibles réductions des dépenses afin de libérer de la capacité d’épargne.
Les stratégies financières pour devenir rentier
Investissements et diversification
Après avoir fixé vos objectifs, vous devez choisir la stratégie à adopter pour les atteindre. Quel type de rentier êtes-vous ? Quels investissements peuvent générer les revenus passifs recherchés ?
Identifier les placements qui vous correspondent est déterminant dans votre stratégie pour devenir rentier. La diversification des investissements permet de consolider votre stratégie en multipliant les sources de revenus passifs.
Même en cas de perte de capital sur un placement financier, vous pourrez maintenir votre situation et votre rythme de vie grâce à vos autres investissements.
Faire appel à un professionnel à cette étape peut vous permettre de clarifier quel est votre profil d’investisseur et quelles sont vos options en fonction de vos objectifs.
L’immobilier locatif
Parmi les stratégies financières pour rentier, l’immobilier locatif reste une option incontournable. Malgré les fluctuations que peut subir le marché locatif, la rentabilité et la stabilité de cet investissement sont intéressantes.
- Avantages : l’immobilier locatif génère des revenus réguliers et durables, mais aussi une valorisation de votre patrimoine dans le temps.
- Inconvénient : cet investissement nécessite un apport personnel important.
Pour maximiser les revenus passifs issus de l’immobilier locatif et devenir rentier, nous vous conseillons de choisir des biens immobiliers à faible vacance locative comme les colocations ou les meublés. Ce type de location possède une bonne rentabilité et trouve vite preneur à la revente.
Les SCPI européennes
L’immobilier vous semble être une bonne stratégie d’investissements rentables, mais vous n’avez pas l’apport nécessaire ? Pourquoi ne pas vous tourner vers les sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) ? En acquérant des parts de SCPI européennes, vous financez l’achat d’immobilier locatif et percevez une part des revenus générés.
- Avantages : choisir l’immobilier locatif comme investissement sûr et rentable sans avoir à s’occuper de la gestion locative du bien.
- Inconvénients : toutes les SCPI ne se valent pas. Il faut savoir bien choisir pour une rentabilité durable.
Les investissements boursiers
Attirante, la bourse est souvent perçue comme un moyen facile et rapide de générer des revenus passifs. Oui, il est possible d’intégrer les actions cotées à vos investissements rentables.
Toutefois, opter pour les investissements boursiers nécessite quelques connaissances en la matière. À long terme, il peut s’agir d’un choix rémunérateur si vous avez misé sur les bonnes actions au bon moment.
- Avantages : les investissements boursiers bien choisis et intelligemment répartis peuvent faire la différence dans votre stratégie financière pour devenir rentier. Les ETF (Exchange-Traded Fund), un ensemble de valeurs mobilières, sont particulièrement intéressants puisqu’ils permettent de diversifier son portefeuille d’actions à moindre coût.
- Inconvénients : les risques de perte en capital sont assez importants sur le marché boursier, du moins les premières années. Ce type d’investissement requiert une vigilance et une gestion élevée pour saisir les opportunités et maintenir le niveau de revenus voulus.
Les cryptomonnaies
Dernier-né des placements rémunérateurs, : les cryptomonnaies peuvent être intégrées dans une stratégie financière pour rentier. Bonne ou mauvaise idée pour atteindre la liberté financière ?
À ce sujet, les avis sont partagés. Le caractère récent et hors norme de ce placement ne permet pas d’avoir assez de recul pour le moment. Cependant, les cryptomonnaies affichent aujourd’hui une rentabilité intéressante.
- Avantages : les performances des cryptomonnaies concordent avec l’objectif de devenir rentier et nécessitent peu d’apport personnel. Il s’agit d’un produit en plein développement et présente encore des perspectives d’évolution.
- Inconvénients : son caractère récent ne permet pas de connaître son comportement à long terme. Les régulations relatives aux cryptomonnaies sont naissantes. Si les risques de perte en capital sont réels, les arnaques sont également nombreuses dans ce domaine. Il convient donc de mesurer l’allocation dédiée pour se prémunir de mauvaises surprises.
Les autres investissements rentables
Pour diversifier encore plus vos stratégies financières, le private equity et le crowdfunding peuvent constituer des pistes intéressantes.
Le private equity (capital-investissement en français) vous permet d’investir dans des entreprises non cotées en bourse.
En participant financièrement au développement d’une société, vous soutenez sa croissance et donc maximisez sa valeur. Ainsi, vous percevez un retour sur investissement proportionnel à ce que vous avez mis dans l’affaire.
- Avantages : le private equity permet de contourner la bourse et de participer activement à l’économie réelle en recherchant les gains.
- Inconvénients : la faible liquidité de ce placement vous contraint à conserver le placement un certain temps, tout comme l’engagement auprès de la société. Il est donc à envisager sur le long terme.
Offrant généralement un taux de rendement oscillant entre 4 % et 8 %, le crowdfunding (ou financement participatif) peut constituer un levier supplémentaire pour générer des revenus passifs.
Créé dans les années 2000, ce mode de financement a explosé. Adapté à tous les profils d’investisseurs, le financement participatif consiste à prêter de l’argent pour financer un projet moyennant une rétribution.
- Avantages : il existe plusieurs types de crowdfunding et il est possible de financer des projets très variés. Il existe aujourd’hui de nombreux acteurs spécialisés dans le crowdfunding faisant le lien entre projets et investisseurs potentiels permettant de donner du sens à votre épargne.
- Inconvénients : pour obtenir le rendement promis, le projet doit aboutir et donc trouver un certain nombre d’investisseurs. Ce qui n’est pas toujours le cas. De plus, la liquidité est très faible sur ce type d’investissement.
L’optimisation fiscale pour maximiser ses revenus passifs
Devenir rentier en 2025 ne signifie pas simplement cumuler les investissements rentables. Il s’agit avant tout de bien gérer son argent.
Qui dit maximiser ses revenus passifs, dit aussi minimiser la charge fiscale. Une fois que vos placements génèrent des revenus passifs, il faut s’assurer que la moitié de vos gains ne termine pas dans la poche de l’administration fiscale.
La fiscalité des revenus passifs
Pour rappel, un revenu passif (ou accessoire) est imposable, quel que soit son montant. Le fait de ne pas générer de revenus issus du travail ne vous exempt pas d’impôt. Suivant la nature de vos investissements (immobilier, SCPI, actions, etc.) le régime fiscal et le système d’imposition varient.
En tant que rentier, il est fort probable que vous ayez, à terme, plusieurs sources de revenus. Afin d’optimiser votre situation fiscale et de maximiser les revenus perçus, il est conseillé de s’entourer de professionnels de la fiscalité.
Comptables et conseillers en gestion de patrimoine vous aideront à effectuer votre déclaration, mais surtout à optimiser votre fiscalité.
Les solutions pour optimiser la fiscalité
L’optimisation fiscale fait donc partie intégrante de la stratégie financière d’un bon rentier.
En associant investissements rentables et placements défiscalisants, vous vous assurez qu’une partie des revenus passifs soit à la fois intégrée à votre capacité d’épargne pour alimenter le système, mais aussi que ces revenus puissent bénéficier d’avantages fiscaux.
Pour alléger la fiscalité des revenus passifs, il faut se tourner vers les produits d’épargne suivants :
- L’assurance-vie : placement flexible et accessible à tous, l’assurance-vie offre un rendement à long terme et la sécurité (via les fonds en euros). Elle vous permet donc de continuer à « faire travailler » votre argent tout en bénéficiant après 8 ans de détention d’une fiscalité avantageuse sur les retraits.
- Le plan épargne retraite (PER) : conçu pour préparer sa retraite, le PER est un placement bloqué jusqu’à l’âge de votre départ à la retraite. Calqué sur le fonctionnement de l’assurance-vie, il présente l’avantage de pouvoir déduire les versements de votre revenu imposable et donc de réduire votre impôt.
Devenir rentier en 5 à 10 ans : étape par étape
Maintenant que vous connaissez les outils disponibles pour atteindre votre objectif, il suffit de mettre en place votre stratégie.
Attention, devenir rentier prend du temps. Il faut être rigoureux et discipliné dans l’application de vos nouvelles règles de vie. Voici comment devenir rentier en 2025, étape par étape.
Élaborer un plan d’épargne et d’investissement
Pour commencer, identifiez vos chiffres : combien avez-vous besoin pour vivre et combien devez-vous épargner pour obtenir le capital nécessaire à l’investissement. Sans surprise, plus le capital est élevé, plus vous serez rentier rapidement.
Si votre objectif est d’être rentier dans 5 à 10 ans, l’épargne nécessaire sera donc importante.
Vivre en dessous de ses moyens
Une fois que votre plan est établi, vous devez changer votre façon de vivre afin de couper les dépenses inutiles et d’augmenter votre capacité d’épargne.
Programmer des versements automatiques depuis votre compte courant vers votre compte épargne dès le début du mois. De cette manière, vous ne pourrez pas céder à la tentation de dépenser cet argent.
La clé pour devenir indépendant financièrement est votre taux d’épargne : plus il est élevé, plus votre indépendance financière est proche.
Si votre taux d’épargne est de 5 %, il est fort probable que vous deviez patienter au moins 50 à 60 ans pour atteindre votre objectif.
En revanche, si vous épargnez 65 % de vos revenus, alors vous pourrez devenir rentier dans une dizaine d’années.
Diversifier son portefeuille selon son profil de risque
Avant de partir tout azimut vers les marchés boursiers ou les cryptomonnaies, vous devez définir votre profil investisseur. Ainsi, vous pourrez cerner votre degré d’aversion au risque et vous tourner vers des placements adaptés à vos ambitions, mais aussi à votre comportement.
N’hésitez pas à demander conseil auprès de professionnels ! Le self-made-man s’est peut-être fait tout seul financièrement, mais il s’est aussi entouré de personnes de bon conseil.
La discipline et la persévérance sont essentielles si vous envisagez sérieusement de devenir rentier. Rien ne dit que vos premiers placements seront les bons choix. Il faut savoir accepter l’échec et se relever.
Pour éviter de mauvaises surprises et maximiser rapidement vos revenus, nous vous conseillons d’établir un suivi régulier et minutieux de vos investissements afin d’ajuster les paramètres si besoin.
Cette habitude vous permettra de mieux comprendre leur fonctionnement et d’éviter les grosses pertes. Ainsi, vous devenez au fur et à mesure plus aguerri.
Les erreurs à éviter
Pour devenir rentier en 2025, il faut avant tout être méthodique. Cet état d’esprit vous permettra d’éviter les pièges et les arnaques, mais elle vous permettra aussi de minimiser les erreurs qui ne feront que vous éloigner un peu plus de votre objectif.
Ne pas avoir un plan clair
Seule une stratégie financière construite sur des bases solides peut aboutir. Ne pas prendre le temps de définir son objectif et sa capacité d’épargne requise est la plus grosse erreur possible.
Changer d’objectif en cours de route est aussi une mauvaise idée. Votre stratégie d’investissement et votre mode de vie seront ajustés en fonction de ces chiffres. Si vous les changez constamment, votre stratégie risque d’être affaiblie.
D’autant plus que certains investissements rentables ne sont pas liquides et ne permettent pas de changer votre fusil d’épaule facilement.
Négliger la fiscalité des revenus passifs
La fiscalité et, plus largement les coûts relatifs, à vos revenus passifs constituent un poste de dépense à considérer dès le début. Il ne faut pas oublier que ce que vous rapportent vos investissements n’est pas nécessairement ce qui arrive dans votre poche.
Anticiper l’impôt relatif à vos gains vous permet de chercher des méthodes d’optimisation fiscale afin de maximiser vos revenus, mais aussi d’avoir une idée réaliste de votre « cash flow ». Le « cash flow » représente la somme d’argent restante après soustraction des dépenses (charges, crédit, impôts, etc.).
Attention au poids des frais relatifs à vos investissements. Il s’agit d’un coût découlant directement de votre stratégie d’investissement et qui sera imputé à vos revenus passifs.
Certains placements financiers, comme le PER, l’assurance-vie ou encore le PEA, comportent des frais plus ou moins élevés en fonction de votre allocation et du gestionnaire du produit.
Sous-estimer l’horizon d’investissement
Les investissements rentables le sont rarement immédiatement. Gardez cette phrase à l’esprit.
Le temps joue un rôle important pour les rentiers. Il permet notamment d’alimenter le moulin en eau, grâce aux revenus générés. Il est aussi l’indice qu’un placement au rendement trop alléchant peut être suspicieux.
Le temps est aussi la mesure grâce à laquelle vous allez choisir vos placements.
Votre stratégie n’est pas la même si vous optez pour une assurance-vie ou si vous achetez un appartement à crédit.
L’horizon d’investissement n’est donc pas à prendre à la légère. D’autant plus que certains placements présentent une faible liquidité et, parfois même, une durée d’engagement minimale.
- Horizon d’investissement à court terme (1 à 5 ans) : placements sécurisés et liquides
- Horizon d’investissement à moyen terme (5 à 10 ans) : investissements équilibrés (immobilier locatif par exemple)
- Horizon d’investissement à long terme (10 ans et plus) : investissements diversifiés et rentables (SCPI, actions, etc.)
Témoignages et exemples de réussite
Étude de cas : comment Pierre, 40 ans, est devenu rentier avec 2 000 €/mois de revenus passifs.
Il se constitue d’abord une capacité d’épargne d’un montant de 150 000 € en économisant 45 % de ses revenus.
Il investit dans un appartement à 120 000 € qu’il met en location pour un loyer de 1 000 €. Il perçoit donc 12 000 € par an.
Il place ensuite le reste de son capital, soit 30 000 €, sur différents placements financiers, réparti de la manière suivante :
- 10 000 € sur une assurance-vie à un taux de 2 %, soit 200 € de revenus supplémentaires par an.
- 20 000 € en parts de SCPI au taux de 4 %, soit 800 € annuels
Pierre génère donc 13 000 € par an d’entrées d’argent grâce à ses investissements. Il déduit les charges et frais, soit environ 1 000 € par an. Il possède donc 12 000 € de cash flow annuel, soit 2 000 €/mois de revenus passifs.
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l n’a pas de frais de gestion locative, car il gère lui-même la mise en location et l’entretien de son bien immobilier. En revanche, les charges et frais sont composés de la taxe foncière, de l’assurance et des charges et frais de gestion relatives aux placements financiers.
Conclusion et ressources complémentaires
Maintenant vous savez exactement ce qu’il vous reste à faire pour devenir rentier en 2025. Les experts Nalo vous donnent quelques conseils avant de foncer :
- Réduire ses dépenses compte plus qu’augmenter ses revenus
- Adapter votre stratégie à votre profil de risque
- Se former sur les stratégies d’investissement fait la différence
- S’entourer de professionnels qui sauront vous aiguiller dans vos choix
Chaque jour compte pour devenir rentier. Prenez rendez-vous avec nos conseillers pour établir votre feuille de route.
Pas le temps pour un rendez-vous ? Essayez notre simulateur d’investissement. Il vous proposera différentes options en fonction de votre profil.
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