L’investissement éco-responsable chez Nalo
Chez Nalo, nous sommes convaincus que l’investissement peut avoir une dimension socialement responsable. C’est pour cette raison que nous avons été les premiers en France à créer un portefeuille ISR composé d’ETF.
Le portefeuille éco-responsable de Nalo est un bon moyen de faire fructifier votre épargne et en même temps de participer à la protection de l’environnement.
En choisissant un portefeuille éco-responsable, vous investissez dans des entreprises :
- qui œuvrent pour la protection de l’environnement en créant de nouvelles technologies utilisant les énergies solaire, hydroélectrique et thermique mais également les technologies éoliennes ;
- qui fabriquent des matériaux biodégradables ;
- de secteurs divers, sélectionnées sur des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Ces entreprises pratiquent une bonne gestion de leurs déchets et réduisent leurs émissions de gaz à effet de serre, elles respectent les droits de leurs employés et sont vigilantes quant au choix de leurs sous-traitants.
Aujourd’hui, environ 52% de nos clients choisissent un portefeuille éco-responsable lors de la souscription. Nos portefeuilles ISR composés d’ETF sont aussi diversifiés que nos portefeuilles standards.
Notre partenariat avec l’AMPA
Présentation de l’AMPA
Dans le cadre de notre portefeuille éco-responsable, nous avons conclu un partenariat, en mai 2018, avec l’Association Mécènes et Parrains d’Abeilles (AMPA) qui œuvre pour la protection des abeilles et la sauvegarde de leur environnement naturel.
L’objectif de l’association est de protéger les abeilles qui sont essentielles à la biodiversité. L’impact de l’introduction des abeilles « d’élevage » n’est pas étudié en France et c’est justement ce que l’AMPA cherche à faire.
L’AMPA a deux objectifs principaux :
- étudier le comportement des abeilles dans un milieu naturel afin de comprendre les différents phénomènes qui entraînent le déclin de l’espèce ;
- sauvegarder le patrimoine apicole.
L’association vient aussi en aide aux particuliers qui trouvent des essaims chez eux.
Afin de lutter contre l’appauvrissement en pollen, l’AMPA sème des fleurs mellifères dans des zones de cultures. Cela permet l’augmentation de la biodiversité, pas seulement au niveau des abeilles mais également pour les papillons, les oiseaux, les hérissons, etc.
10 € par client qui opte pour un investissement responsable
Nalo s’est engagé à reverser 10€ à l’association à chaque nouveau client qui opte pour un investissement éco-responsable.
Depuis le début de notre partenariat en mai 2018, l’AMPA a pu acheter et louer du matériel pour faire des travaux préparatoires.
Le lieu où se trouve les ruches étant sans activité humaine depuis plusieurs décennies, l’association a d’abord dû faire un gros travail de débroussaillage et créer des chemins pour aller jusqu’aux ruches.
Notre contribution a notamment permis à l’AMPA d’acheter plus de ruches et d’essaims. L’objectif de l’association est d’atteindre au minimum un quota de 60 ruches pour mesurer l’impact des abeilles sur la biodiversité du lac.
De plus, l’AMPA fait face à un manque de main d’oeuvre. En effet, l’association a besoin d’un grand nombre de bénévoles pour pouvoir débroussailler toute la zone d’étude. Si vous voulez contribuer au projet de l’AMPA, rendez-vous sur leur site internet.
L’histoire du projet
En 2017, l’AMPA a trouvé un lieu excentré, autour d’un lac dans le Lot, sans aucune culture ni activité humaine à proximité. Il n’y a plus d’activité agricole dans cette zone depuis les années 1940.
Entre 2017 et 2018, l’AMPA a fait un premier état des lieux et inventaire de la biodiversité de la zone.
Cette zone n’a pas été occupée pendant plusieurs décennies, il a donc fallu faire de gros travaux de préparations de terrains et de défrichages pendant l’année 2018.
A l’été 2018, les premières ruches ont été installées. Depuis, le nombre de ruches s’est multiplié et l’association possède aujourd’hui une vingtaine de ruches.
Aujourd’hui, en 2020, les aménagements de la zone d’étude se poursuivent. Le travail d’inventaire de la biodiversité n’est toujours pas terminé.
Les membres de l’association pensent terminer l’inventaire d’ici la fin de l’année 2020. Les pourtours du lac ne pourront pas être investis avant la fin de cet inventaire.
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